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BALLON SOUPAPE 14

Ballon Air Chaud Solaire de 4 mètres.

Projet Soupape pour régulation de l'altitude :

8. Fabrication de la soupape type 2 (suite):

essais en extérieur sous vent faible.


soupape terminée bordée de ruban.	ballon peu gonflé soupape fermée.

La soupape a été bordée de rubans adhésifs "marrons" et deux ficelles perpendiculaires ont été placées pour éviter les déformations de la soupape en cas de vents violents. Le ballon sous gonflé ferme quand même la soupape par la pression interne mais il apparaît nécessaire de placer un ressort de rappel pour assurer la fermeture en cas de basse pression et de coups de vent sur la soupape. Ce ressort n'est pas encore défini, mais il sera muni de deux capteurs qui contrôleront la position de la soupape. Voir paragraphe suivant.


ballon relativement sous pression.	déballage avant gonflage.

Le ballon est un peu plus sous pression, la soupape est parfaitement fermée, le clapet est plaqué sur le siége. On distingue les déformations du plastique, traces des essais de la soupape de type 1, c'est à dire le parachute. En respectant bien les mesures, et en exécutant correctement la soudure de la soupape sur le ballon, il ne devrait pas y avoir de telles déformations. Sur la photo de droite, l'enveloppe vient d'être déballée.


installation électrique 230 volts.	turbines air chaud en action.

L' enveloppe se gonfle un peu avec le soleil, mais avec une turbine le gonflage sera plus rapide. Il faut choisir une turbine de 200 mètres cubes heure au minimum, pour assurer un gonflage rapide. L'air chaud est fourni par la turbine et une résistance chauffante, ensuite c'est le soleil qui assure le chauffage de l'air interne par l'intermédiaire de l'enveloppe noire en polyéthylène (meilleur rendement).


un léger vent déplace le ballon.	le soleil commence à chauffer.

Le vent, même faible peut déplacer le ballon autour du point de gonflage. Prévoir une bâche et quelques volontaires pour immobiliser le ballon ! Sur la photo de droite, le soleil délivre son énergie sur l'enveloppe. On admet fréquemment une base de 1 kW au mètre carré, soit dans le cas du ballon solaire de 4 mètres, un équivalent énergétique d' environ 10 kW. Cet essai montre une fois de plus que la poussée du ballon est directement fonction de la différence de température interne par rapport à celle de l' extérieur.